1 nov 12 - Des citoyens se lèvent contre le projet d'éoliennes (Très-Saint-Sacrement)
Yvon Tremblay, Léo Corbeil et Robert Brown habitent Très-Saint-Sacrement depuis plus de 25 ans. Ce trio de citoyens veut sensibiliser les résidents de l'endroit relativement aux «dangers» que représente ce projet embryonnaire.
Léo Corbeil s'est référé à l'Atlas du bassin versant de la rivière Châteauguay pour appuyer le fait qu'il y a plusieurs espèces menacées et vulnérables répertoriées sur le territoire de Très-Saint-Sacrement. Il ajoute également que, selon les schémas de l'Atlas, les aquifères seraient touchés par les lignes de haute tension sous la terre, ce qui pourrait avoir un impact sur l'approvisionnement en eau des résidents, car ils sont tous alimentés par des puits artésiens.
Léo Corbeil s'est référé à l'Atlas du bassin versant de la rivière Châteauguay pour appuyer le fait qu'il y a plusieurs espèces menacées et vulnérables répertoriées sur le territoire de Très-Saint-Sacrement. Il ajoute également que, selon les schémas de l'Atlas, les aquifères seraient touchés par les lignes de haute tension sous la terre, ce qui pourrait avoir un impact sur l'approvisionnement en eau des résidents, car ils sont tous alimentés par des puits artésiens.
31 oct 12 - Le projet Éoliennes de l'Érable devant les tribunaux (Saint-Ferdinand, Victoriaville)
Les citoyens se plaignent notamment du bruit et de la poussière causés par le passage incessant des camions. Ils vont plaider le trouble de voisinage en se basant sur le jugement de la Cour suprême dans la cause de Ciment Saint-Laurent, à Québec.
Les requérants disent subir, depuis le début des travaux majeurs en juillet 2011, des inconvénients majeurs causés par le passage incessant de la machinerie lourde, de convois de matériaux et des multiples passages de camions et automobiles d’employés, sans compter les véhicules de sécurité circulant de soir et de nuit après la fermeture des divers chantiers.
Ils disent souffrir depuis ce temps du bruit, de la poussière, des vibrations, de la vitesse excessive des véhicules et du transport de marchandises et de machineries diverses occasionnant des risques pour leur sécurité en plus des inconvénients permanents qui découleront de l’implantation et de la présence des éoliennes.
Les requérants disent subir, depuis le début des travaux majeurs en juillet 2011, des inconvénients majeurs causés par le passage incessant de la machinerie lourde, de convois de matériaux et des multiples passages de camions et automobiles d’employés, sans compter les véhicules de sécurité circulant de soir et de nuit après la fermeture des divers chantiers.
Ils disent souffrir depuis ce temps du bruit, de la poussière, des vibrations, de la vitesse excessive des véhicules et du transport de marchandises et de machineries diverses occasionnant des risques pour leur sécurité en plus des inconvénients permanents qui découleront de l’implantation et de la présence des éoliennes.
24 nov 11 - Parc éolien de l'Érable : Bienvenue en zone sinistrée
Il faut le voir pour le croire. Des nuages de poussières qui planent par-dessus les forêts, pénètrent les maisons jusqu’au fin fond des poumons, plus de 400 camions par jour qui roulent à pleine vitesse à quelques mètres des maisons.
Les citoyens sont réveillés à 6 h 30 presque tous les matins (y compris la fin de semaine) par le grondement et les vibrations des camions.
Les résidants du rang 3 n’auraient jamais pensé vivre en zone sinistrée un jour, alors que leur région était surnommée à juste titre « La petite Suisse » du Québec; d’autant plus qu’avant le début des travaux, on les rassurait en soutenant que leur rang ne serait pas utilisé pour le transport lié à la construction du parc éolien. Mystérieusement, lorsque les travaux ont débuté et qu’ils ont reçu la nouvelle carte des travaux à effectuer, ils ont réalisé qu’ils vivaient dorénavant en plein cœur d’un chantier industriel et auraient à subir non seulement la transformation de leur paysage, la dévaluation de leur maison et les risques pour leur santé, mais aussi le bruit et la poussière au quotidien pendant les trois prochaines années.
Les citoyens sont réveillés à 6 h 30 presque tous les matins (y compris la fin de semaine) par le grondement et les vibrations des camions.
Les résidants du rang 3 n’auraient jamais pensé vivre en zone sinistrée un jour, alors que leur région était surnommée à juste titre « La petite Suisse » du Québec; d’autant plus qu’avant le début des travaux, on les rassurait en soutenant que leur rang ne serait pas utilisé pour le transport lié à la construction du parc éolien. Mystérieusement, lorsque les travaux ont débuté et qu’ils ont reçu la nouvelle carte des travaux à effectuer, ils ont réalisé qu’ils vivaient dorénavant en plein cœur d’un chantier industriel et auraient à subir non seulement la transformation de leur paysage, la dévaluation de leur maison et les risques pour leur santé, mais aussi le bruit et la poussière au quotidien pendant les trois prochaines années.